Mercredi 15 octobre
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13:37
lundi, après le travail, pour me détendre, prendre l'air : apéro sur le front de mer de St Pierre. Je m'installe en terrasse au Retro, histoire de mater les gens qui passent ou entrent dans le
tabac. C'est fou le nombre de beau mecs qui fument ! et bien sur, beaucoup de militaires ! J'adore les hommes en uniforme ! Surtout qu'ici, beaucoup sont en short. Parfois, on dirait des scouts
grandis trop vite ! Ce qui me fait baver, c'est les grands, avec des grosses cuisses poilues ! Si en plus, tu rajoutes un joli cul bien rond, je bave en haut et en bas ! En écrivant ça, je repense
à un grand zoreil musclé que j'ai vu passer un jour... mais il n'a fait que passer. sniff. Mais revenons à ce soir là. J'étais assis. Un uniforme approche, accroche mon regard. Il est bien, pas
grand ni en short, mais bien. Je le regarde marcher, c'est à dire niveau ceinture au plus haut (trrrrrès choli !) quand tout à coup, je lève les yeux : il me regarde. ou plutot, il me fixe,
l'effronté ! En poussant la porte, il me souri, et je passe à un autre. Une scéance matage normale. J'y pensais plus et je le vois sortir, lentement, en allumant une cigarette. Il me regarde, souri
et traverse la rue lentement pour aller s'assoier sur une rembarde, à côté du café de la gare, et il regarde vers moi. Il fait presque nuit, j'ai pas mes lunettes, mais je vois qu'il persiste. Il
allume même une deuxième cigarette. Là je me dis "ma fille, celui-là, il est pour toi" Je traverse. Le coup classique du fumeur : t'as pas une cigarette. Durant l'allumage, on s'examine
ouvertement, on se fixe, histoire de faire monter la température. Le temps de se chauffer, on a presque fini de fumer et c'est parti : tu connais un coin tranquille ? tu me suis en voiture ? et
nous voilà partis ! direction : l'hopital, après la ravine, un petit bois et un parking. On s'éloigne des voitures et de la route. Contre un arbre, on s'embrasse. Ca, c'est embrasser ! Il me
dévore, et je me défend bien ! On se caresse. Les mains s'empressent de passer par dessus, par dessous tout ce linge. Sa peau est douce, finement musclé, c'est ferme. Tous les deux torses nus,
ceinture défaite, les caresses descendent. Ses fesses sont fermes et bien rondes, sa raie bien chaude. Il est bien monté (honnètement, sans plus) et trèstrès raide ! (J'adore sentir le désir d'un
homme, sa bite bien gonflé à cause de moi !) Il se baisse, me suce, c'est bien mais sans plus : c'est pas ce que je préfère, alors j'attends la suite. Et elle arrive : il se relève et dit "vas-y,
mets le préservatif" M E R D E ! C'est un passif, lui aussi ! Ca, ça casse le mythe du militaire hyper viril ! cassé, démotivé, j'essaye de négocier. Rien
à faire ! Ebé voilà ! J'ai fait de la spéléo ! Remarque, ça a pas duré longtemps. Comme je sais pas faire, il m'a appuyé sur un arbre, s'est retourné, s'est empalé, et dès qu'il s'est senti
suffisament élargi, on a pivoté pour qu'il s'appuie sur l'arbre et j'ai pistonné de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il jouisse.
En se rhabillant, lui : "t'as jouie, au moins ?" moi : "ouuuiiii, bien sur !" lui : "bon, je me dépèche, je suis pressé, à la prochaine, peut être"
et il part, presque en courant dans la nuit, au milieu des herbes. Frustré, je suis rentré me branler devant des videos sur erog !
Vous me direz : elle est bien, ta petite histoire ! mais attendez le plus beau. Ce matin, je l'ai revu, mon beau militaire, à l'hyperCrack d'à côté : il faisait les courses avec madame et les
enfants ! N'empeche qu'il était mignon avec sa fille dans les bras.
Par Tikalou
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Lundi 13 octobre
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13
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12:21
Je suis donc retourné chez moi. A l'époque, j'habitais à St Philippe, (plus loin, on tombe, parce que la terre est plate et qu'on arrive au bout du monde). Mr Cravache devait m'y retrouver en
avril, ce qu'il fit, mais ce n'était plus comme avant. J'avais beaucoup appris. J'avais beaucoup changé. Je n'attendais plus autant de lui. Il ne m'apportais plus autant. Le dernier coup tiré
ensemble fut typique de son séjour. Avant de le ramener à l'aéroport, Monsieur voulait une dernière séance, pas moi, donc : négociation ! Résultat : je lui ai prété mon cul. Il m'a pénétré (c'est
vrai qu'a plus de 40 ans, il était toujours en rut, et instantanément en érection) en me traitant de salope. J'ai attendu qu'il finisse et j'ai rangé les valises dans la voiture. Ce ne fut que
drague durant deux semaines, et surtout à la Souris Chaude, la plage de sa jeunesse. Il voulait "voir sur pièce ce qu'il allait consommer" ! A moi avec ma belle gueule d'aller draguer (alors que je
n'aime qu'une chose : me faire draguer) surtout les jeunes minets (son plat favori ; moi, je préfère le genre sportif, ouvrier, bucheron, docker...) les chauffer, les sucer devant lui, à lui de les
frustrer en disant "non, tu le prends pas, il est à moi, par contre moi je te prends" Ensuite, retour à la case, et séance de fessée, cravache, bondage parce que "je ne suis qu'un trainée qui
aguiche les inconnus" Une seule fois, il a laissé quelqu'en me prendre. C'était quelqu'un qui lui ressemblait, et pendant que je me faisait bourrer le cul, il bourrait celui du petit copain de mon
bourreur. On s'est quitté en se promettant de se revoir à Paris en juillet, mais, ce qu'il ignonrait, c'est qu'entre temps, les lettres et les coups de fils avaient commencés avec mon bel
asiatique. Vers la fin, je m'endormais avec mon téléphone sur le coeur parce qu'il m'appelait n'importe quand. On s'est découverts petit à petit, de loin (ça fait très bizarre et ridicule de dire
aux copines "j'suis amoureux, mais je l'ai vu qu'une fois, y'a six mois"). Pour résumer, il a grandi dans une famille friquée de Djakarta, y a été, un temps, manequin (du temps où il avait des
cheveux !) vivait entre Paris, NY et Djakarta, faisait encore dans le commerce de fringues de luxe (avec sa belle-soeur en Allemagne), mais sa passion, c'était la patisserie française (il finissait
un stage au Ritz, je crois).
Entre lui et l'autre, le choix fut rapide : Mr Cravache m'offrait les bas-fonds de Paris, Mr Chang m'offrait le monde et le luxe ! Les retrouvailles furent fantastiques. J'aimais tout en lui : son
corps musclé juste comme il faut, sa bite, grosse juste comme il faut, sa peau douce, son crane rasé, ses traits épais, son intelligence, sa culture... Les deux premières semaines furent du bonheur
parfait. Parfois, j'en pleurais ! On passait notre temps entre le lit et le restaurant. On faisait ça entre dix et quinze fois par jours ! Le problème est apparu quand j'ai voulu connaître sa vie.
Les belles promesses d'amour éternel se sont envolées. J'ai alors compris que je n'étais pas assez bien pour son monde. J'étais trop plouc, j'étais trop niais. Les deux dernières semaines ne furent
que de la baise, et quand je m'en suis lassé, je suis allé voir maman dans les Pyrénées. Ca tombait bien, une copine de fac se mariait, et puis retour à St Philippe. Je me suis donné trois mois
pour sortir de cette affaire. Pendant deux mois, après le boulot, je passais mon temps à jouer aux cartes sur l'ordinateur, c'est vraiment tout ce dont j'avais envie, et un beau jour, je suis allé
sur le chat, et c'est là que j'ai rencontré Gérald
à suivre !
Par Tikalou
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Dimanche 12 octobre
7
12
/10
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13:16
samedi soir, avec une association, nous avons fait un pique nique. Des gens de tous les âges, toutes les conditions, il y avait même des familles. Je revois encore ce père avec ses enfants. Il
ressemblait à un boudha avec sa poitrine flasque qui tombait sur son ventre flasque qui tombait sur ses cuisses. Il a repris deux fois de mon gateau ! mais c'est mon café qui a fait la différence !
juste avant le dessert est arrivé ce beau motard métis avec un sourire à tomber. La peau café au lait clair, le cheveu court, le bouc bien taillé. Il était beau et le savait. En plus, quand il a
ouvert son bouson, il était torse nu avec des muscles partout. Un peu maigre, voir sec, mais très musclé. Bien sur, impossible de détacher mon regard. Quand il a commencé à raconter des blagues,
tout le monde le regardait, mais il a fini par voir que je le regardais un peu plus que les autres. Quand tout le monde est allé se baigner, moi, j'ai sorti mon thermos de café, et il demandé s'il
pouvait en avoir. Il s'est alors assis juste à côté de moi, & patati & patata, et je reprends du café, et je te frole, et je te fixe droit dans les yeux, gros sourire, et tu veux une
cigarette, et tu as du feu, et je te refrole, et puis re-fixe... Le "chat & souris" classique, à lui le chat, et moi la souris !
lui : Si tu veux, j'ai autre chose à fumer !
moa (effronté que je suis !) : un joint ou un gros cigare ?
lui : on va commencer par un joint !
et on s'est (enfin) éloigné du groupe, et dans le "fait-noir" il a allumé sa cigarette spéciale, me l'a passée et a commencé à me caresser. Je lui ai repassé et je l'ai caressé. Ah, le bonheur de
toucher une peau soyeuse avec des muscles derrière ! Ce fut court mais bon ! Après, on s'est embrassés : ses fesses aussi étaient soyeuse et fermes ! Et bien sur, tombage en position naturelle : à
genoux avec une bite dans la main et un gland entre les molaires. Et l'autre main, me direz-vous ? Ebé là, je vous laisse imaginer parce qu'elle était partout ou elle pouvait aller ! Et la bite, me
direz-vous ? Ebé, une belle chose, assurément ! A vue de mains, je dirais 16-17, avec du 4-5 de large ! Avec un gland bizarre, soit ! (style petit chapeau chinois) mais très très raide, comme je
les aime ! En tout cas, elle était très bien pour ma bouche ! Je n'ai pas vu le temps passer ! Il a fini assis sur un petit rocher et moi a genoux dans le sable, le cul en l'air avec le vent
passant entre les fesses et les couilles, dans l'air chaud du soir : le paradis ! J'adore cette île ! Ensuite, il s'est relevé, a recouvert son chapeau chinois et je me suis assis dessus,
lentement, doucement, en le regardant droit dans les yeux (ça, c'est encore mon côté effronté !) Ah, le bonheur d'une belle bite bien raide qui vous troue le cul et qu'on sent bien profond, comme
un tuteur ! Et là, aha-aha-aha-aha, et quand j'ai eu mal aux jambes, déculer-relever-réenculer par derrière, moi, appuyé sur un autre rocher et lui, accroché à mes hanches (j'adooore !) et là
tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum pour le galop final. Ebé, c'était génial. Lui, m'a dit qu'il avait rarement joui comme ça. Apparament, ça lui a plu, parce qu'on est allé fumer deux fois encore
dans la soirée ! Normalement, il devrait me rappeler ! J'espère vraiment qu'il va le faire !!!!!!!
Par Tikalou
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Mardi 7 octobre
2
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18:58
Ce week end, je me suis fait un steward, mais il n'en avait pas l'air. C'était tout sauf une grande folle. Un peu plus grand que moi, mignon, bien foutu, svelte, une
bite un peu comme la mienne en à peine plus large (je suis désolé, mais je baise pas avec un mètre et une balance ! La seule référence à vous offrir, c'est moi) Bref, ça s'annoncait bien, et ce fut
génial ! Un baiseur de première. Il devait approcher des 35 ans et avoir pas mal d'expérience. On s'est rencontrés dans un coin sombre de St Denis et il m'a amené à son hotel. C'est la première
fois qu'on m'emmène à l'hotel ! Là, il m'a pas proposé le classique verre, mais d'aller sous la douche. De le voir se déshabiller, j'étais tout gonflé. Un pied dans la douche et j'étais raide. J'ai
cru que j'allais jouir quand il m'a savonné partout partout partout. Le savon, y'a pas à dire, c'est un lubrifiant génial. On s'est embrassés, ou plutôt, il m'a embrassé et je me suis laissé faire
dans ses bras, ses mains sur mes fesses, ses doigts dans ma fente cherchant à m'élargir...mmmmmm... Je ne sais plus si on a pris le temps de se sécher. Je me rappelle surtout qu'il m'a d'abord
lubrifié, élargir et pénétré, lui debout et moi à genoux sur le lit, et qu'ensuite, il a commencé les "préliminaires". les caresses partout, le mordillage de l'oreille, le frottage du bout du gland
avec ma propre sécrétion. Celle-là, je la connaissait pas C EST GENIAL !!!! j'avais l'impression de jouir en permanence ! Non, pire, que j'allais jouir dans la seconde, mais ça durait et durait et
durait...Alors, quand il a commencé à me limer, je crois que j'ai vraiment jouis, (ou alors c'est plus tard bref, à la fin, j'avais les couilles douloureuses parce que quand je jouis pendant qu'on
me baise, ça sort pas, je n'éjacule pas et ça devient douloureux) Il a commencé lentement et je criais déjà "maman" Il a accéléré, et je pouvais plus rien dire que des ha ha ha à chaque bourre. Je
voulais lui dire de pas jouir trop vite, mais il maitrisait ! Il alternait vite et lentement, puis il m'a changé de position. J'adore être manipulé comme une poupée gonflable ! Il m'a mis sur le
dos, s'est assis sur une de mes cuisses et posé mon autre jambe sur son épaule et là, il est allé vraiment profond ! Il a voulu tout de suite reprendre un bon rythme, mais ça faisait trop mal. Il
dévoilait des zones qui ne servent pas souvent. Il a fallu écarter tout ça et après, il m'a bien enculé profond profond ! Je le sentais tellement profond ! J'ai l'impression qu'il a touché un point
G tout au fond de mon rectum ! Là aussi, alterner vite & lent comme un pro : j'en pouvais plus ! j'avais le cul en feu. La limite douleur plaisir était dépassée. Il fallait qu'il sorte "pas
avant de jouir" m'a-t-il dit et là, il a sorti sa botte secrète. Pour détourner la douleur, il en a crée une autre, plus forte : il m'a pris les couilles et les a tirées vers le haut, les a
serrées, de plus en plus fort et il est parti dans un bourrage d'enfer. C'est peut être là que j'ai joui parce que j'ai vu des étoiles, vraiment ! Ca serait bien aussi, de penser qu'on a joui
ensembles ! Le temps de se débarasser du préservatif, on s'est endormis l'un contre l'autre. Dans la nuit, on s'est réveillés. Mon cul, c'était Verdun, mais on avait trop envie, tous les deux,
alors on a fait ça vite fait, en levrette. J'adore cette position. Je m'y sens vraiment soumis. Pour le galop final, il s'est appuyé sur mes épaules, m'a écrasé sur le lit et dès qu'il a éjaculé,
je me suis branlé avant qu'il ne dégrossisse dans mon cul. D'habitude, une bonne enculade me suffit, pas la peine que je me branle, mais là, c'était la cerise sur le gateau ! Au matin, il devait
repartir, on s'est quitté en se dévorant de baisers. Il avait mon numéro, mais, je ne dois pas me faire d'illusions, il ne vient pas souvent sur La RUN et il prend ses vacances avec son copain.
C'était trop beau pour être vrai. sniff Mais, petit espoir quand même ! Quand il repasse, il l'a promis, il me téléphone !
Par Tikalou
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Publié dans : que du neuf !
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Samedi 4 octobre
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/10
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14:27
Ce qui fut fatal, je crois, c'est son appartement : médiocre, miteux, sombre, mal décoré... "C'est pas le côté matériel de va vie qui m'intéresse" C'est vrai qu'en psychologie, il était fort. Il a
deviné tellement de choses sur moi. Le rêve : un homme qui m'aime comme j'ai besoin d'être aimé. J'étais terriblement impressioné. Pour lui, en tant que passif, j'étais à la recherche du phallus,
ce côté symbolique du penis qui représente la virilité, surtout celle paternelle qui incarne la loi. Le père, pour l'enfant, est là pour, non pas faire la loi, mais la rappeler, et comme tous les
enfants, je passais mon temps à violer la loi pour trouver mon père. Je ne l'ai jamais trouvé et c'est pour cela que je le cherche encore en provoquant les hommes, surtout ceux que je trouve
virils. Au fond de moi, je suis encore un petit garçon perdu dans ce grand monde et je cherche un papa pour me guider. Manque de chance, je suis exigeant et JL ne me sufisait pas. Je cherchait
constament ses limites. Il me disait que je faisait exprès pour le mettre en colère et recevoir une bonne correction. Il les provoquait, aussi, ces situations énervantes. Il m'emmenait dans tous
les saunas de Paris pour m'exhiber. Moi qui n'aime qu'a me faire draguer, il m'obigeait à allumer tous ceux qui s'approchaient de moi et le soir, me reprochait de les avoir provoqué devant lui, me
fessait, me cravachait, m'attachait, m'humiliait.
Je développe un peu, histoire de vous faire saliver ! Dans un jacuzi, il m'a demandé de caresser de ma jambe, celle de mon voisin d'en face. Il ne me plaisait pas, mais il lui plaisait à lui. J'ai
du le caresser jusqu'aux couilles, les lui titiller de mes orteils, lui caresser la bite jusqu'à ce qu'il me demande s'il pouvait me baiser. Alors, en regardant mon "maître" je lui disait : c'est à
lui qu'il faut demander. Il m'a fait souvent le coup. Il faisait semblant de réfléchir et le verdict tombait : soit c'était "non et adieu", soit c'était "oui mais je te baise après" Je me rapelle
dans les douches, j'ai du me savonner lubriquement en enfonçant bien les doigts et en reculant mon cul pour faire craquer deux vieux ; dans le hamman, j'ai du regarder deux jeunes jusqu'à les faire
craquer. Les vieux il les a refusés, par contre, les jeunes, il les a regardés me défoncer chacun leur tout dans une cabine ouverte avant de se les taper devant tout le monde (tu m'étonnes !!! à
force de gémir j'avais alerté tout le monde !) Mais un jour où il travaillait, je suis retourné au sauno tout seul. Un petit gars m'y a, apparament remarqué. A force de jouer au chat et à la
souris, je me suis laissé attraper. Je l'ai suivi jusque dans une cabine. Il m'a sauté dessus en soupirant, m'a plaqué à terre et sucé tant qu'il pouvait comme un fou. Fou de désir, il l'était. Il
m'a soulevé le bassin, a pris sa bite en main pour la guider entre mes fesses, m'a pénétré sans ménagement en me regardant droit dans les yeux, et là, tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum, etc, les
yeux dans les yeux. Il était bien beau, le visage large et les traits épais, comme je les aime. J'ai d'abord cru qu'il était Japonais. Je l'ai alors imaginé kartéka. C'est vrai qu'il était bien
musclé, bien monté aussi pour un asiatique (Ah ! C'est beau, les clichés !!!!) Quand il a joui, il m'a retourné. A peine le temps de m'écarter les cuisses et de changer le préservatif, il était
déjà reparti, pour plus longtemps, cette fois-ci, bien sur ! C'était tellement bon ! Il s'est effrondré sur moi, soufflant comme un boeuf. Après seulement, on s'est fait un moment tendresse. On
s'est caressés en se racontant nos vies. Il était Indonésien, cuisinier-patissier en France. Vous pensez bien que plus de deux ans après, les détails de la conversation m'échappent, mais elle fut
assez longue pour la continuer sous la douche. On n'a pas fait que ça, bien sur ! On s'est tellement savonnés l'un l'autre qu'on est sortis style "bite-en-bois" courant vers une cabine libre.
J'aurais aimé le sucer mais il m'a poussé sur une table de massage, fesses en l'air, écarté les jambes et pénétré et re-tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum. Il a vite joui, mais il est resté dedans et
a continué pour rejouir. "quate fois à la suite : tu m'excite comme un fou" On s'est redouchés, rhabillés, échangé nos adresses (il ne comprenait pas que je retourne à La Réunion deux jours après :
OU ?!) et on est retourné à nos activités. La mienne était de me faire cravacher par mon petit nègre.
Vous pensez bien que si je vous parle de mon bel Indonésien, c'est qu'il jouera un grand rôle par la suite !
Par Tikalou
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