souvenirs, souvenirs !

Lundi 13 octobre 1 13 /10 /Oct 12:21

Je suis donc retourné chez moi. A l'époque, j'habitais à St Philippe, (plus loin, on tombe, parce que la terre est plate et qu'on arrive au bout du monde). Mr Cravache devait m'y retrouver en avril, ce qu'il fit, mais ce n'était plus comme avant. J'avais beaucoup appris. J'avais beaucoup changé. Je n'attendais plus autant de lui. Il ne m'apportais plus autant. Le dernier coup tiré ensemble fut typique de son séjour. Avant de le ramener à l'aéroport, Monsieur voulait une dernière séance, pas moi, donc : négociation ! Résultat : je lui ai prété mon cul. Il m'a pénétré (c'est vrai qu'a plus de 40 ans, il était toujours en rut, et instantanément en érection) en me traitant de salope. J'ai attendu qu'il finisse et j'ai rangé les valises dans la voiture. Ce ne fut que drague durant deux semaines, et surtout à la Souris Chaude, la plage de sa jeunesse. Il voulait "voir sur pièce ce qu'il allait consommer" ! A moi avec ma belle gueule d'aller draguer (alors que je n'aime qu'une chose : me faire draguer) surtout les jeunes minets (son plat favori ; moi, je préfère le genre sportif, ouvrier, bucheron, docker...) les chauffer, les sucer devant lui, à lui de les frustrer en disant "non, tu le prends pas, il est à moi, par contre moi je te prends" Ensuite, retour à la case, et séance de fessée, cravache, bondage parce que "je ne suis qu'un trainée qui aguiche les inconnus" Une seule fois, il a laissé quelqu'en me prendre. C'était quelqu'un qui lui ressemblait, et pendant que je me faisait bourrer le cul, il bourrait celui du petit copain de mon bourreur. On s'est quitté en se promettant de se revoir à Paris en juillet, mais, ce qu'il ignonrait, c'est qu'entre temps, les lettres et les coups de fils avaient commencés avec mon bel asiatique. Vers la fin, je m'endormais avec mon téléphone sur le coeur parce qu'il m'appelait n'importe quand. On s'est découverts petit à petit, de loin (ça fait très bizarre et ridicule de dire aux copines "j'suis amoureux, mais je l'ai vu qu'une fois, y'a six mois"). Pour résumer, il a grandi dans une famille friquée de Djakarta, y a été, un temps, manequin (du temps où il avait des cheveux !) vivait entre Paris, NY et Djakarta, faisait encore dans le commerce de fringues de luxe (avec sa belle-soeur en Allemagne), mais sa passion, c'était la patisserie française (il finissait un stage au Ritz, je crois).
Entre lui et l'autre, le choix fut rapide : Mr Cravache m'offrait les bas-fonds de Paris, Mr Chang m'offrait le monde et le luxe ! Les retrouvailles furent fantastiques. J'aimais tout en lui : son corps musclé juste comme il faut, sa bite, grosse juste comme il faut, sa peau douce, son crane rasé, ses traits épais, son intelligence, sa culture... Les deux premières semaines furent du bonheur parfait. Parfois, j'en pleurais ! On passait notre temps entre le lit et le restaurant. On faisait ça entre dix et quinze fois par jours ! Le problème est apparu quand j'ai voulu connaître sa vie. Les belles promesses d'amour éternel se sont envolées. J'ai alors compris que je n'étais pas assez bien pour son monde. J'étais trop plouc, j'étais trop niais. Les deux dernières semaines ne furent que de la baise, et quand je m'en suis lassé, je suis allé voir maman dans les Pyrénées. Ca tombait bien, une copine de fac se mariait, et puis retour à St Philippe. Je me suis donné trois mois pour sortir de cette affaire. Pendant deux mois, après le boulot, je passais mon temps à jouer aux cartes sur l'ordinateur, c'est vraiment tout ce dont j'avais envie, et un beau jour, je suis allé sur le chat, et c'est là que j'ai rencontré Gérald
à suivre !
Par Tikalou - Publié dans : souvenirs, souvenirs !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 14:27

Ce qui fut fatal, je crois, c'est son appartement : médiocre, miteux, sombre, mal décoré... "C'est pas le côté matériel de va vie qui m'intéresse" C'est vrai qu'en psychologie, il était fort. Il a deviné tellement de choses sur moi. Le rêve : un homme qui m'aime comme j'ai besoin d'être aimé. J'étais terriblement impressioné. Pour lui, en tant que passif, j'étais à la recherche du phallus, ce côté symbolique du penis qui représente la virilité, surtout celle paternelle qui incarne la loi. Le père, pour l'enfant, est là pour, non pas faire la loi, mais la rappeler, et comme tous les enfants, je passais mon temps à violer la loi pour trouver mon père. Je ne l'ai jamais trouvé et c'est pour cela que je le cherche encore en provoquant les hommes, surtout ceux que je trouve virils. Au fond de moi, je suis encore un petit garçon perdu dans ce grand monde et je cherche un papa pour me guider. Manque de chance, je suis exigeant et JL ne me sufisait pas. Je cherchait constament ses limites. Il me disait que je faisait exprès pour le mettre en colère et recevoir une bonne correction. Il les provoquait, aussi, ces situations énervantes. Il m'emmenait dans tous les saunas de Paris pour m'exhiber. Moi qui n'aime qu'a me faire draguer, il m'obigeait à allumer tous ceux qui s'approchaient de moi et le soir, me reprochait de les avoir provoqué devant lui, me fessait, me cravachait, m'attachait, m'humiliait.
Je développe un peu, histoire de vous faire saliver ! Dans un jacuzi, il m'a demandé de caresser de ma jambe, celle de mon voisin d'en face. Il ne me plaisait pas, mais il lui plaisait à lui. J'ai du le caresser jusqu'aux couilles, les lui titiller de mes orteils, lui caresser la bite jusqu'à ce qu'il me demande s'il pouvait me baiser. Alors, en regardant mon "maître" je lui disait : c'est à lui qu'il faut demander. Il m'a fait souvent le coup. Il faisait semblant de réfléchir et le verdict tombait : soit c'était "non et adieu", soit c'était "oui mais je te baise après" Je me rapelle dans les douches, j'ai du me savonner lubriquement en enfonçant bien les doigts et en reculant mon cul pour faire craquer deux vieux ; dans le hamman, j'ai du regarder deux jeunes jusqu'à les faire craquer. Les vieux il les a refusés, par contre, les jeunes, il les a regardés me défoncer chacun leur tout dans une cabine ouverte avant de se les taper devant tout le monde (tu m'étonnes !!! à force de gémir j'avais alerté tout le monde !) Mais un jour où il travaillait, je suis retourné au sauno tout seul. Un petit gars m'y a, apparament remarqué. A force de jouer au chat et à la souris, je me suis laissé attraper. Je l'ai suivi jusque dans une cabine. Il m'a sauté dessus en soupirant, m'a plaqué à terre et sucé tant qu'il pouvait comme un fou. Fou de désir, il l'était. Il m'a soulevé le bassin, a pris sa bite en main pour la guider entre mes fesses, m'a pénétré sans ménagement en me regardant droit dans les yeux, et là, tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum, etc, les yeux dans les yeux. Il était bien beau, le visage large et les traits épais, comme je les aime. J'ai d'abord cru qu'il était Japonais. Je l'ai alors imaginé kartéka. C'est vrai qu'il était bien musclé, bien monté aussi pour un asiatique (Ah ! C'est beau, les clichés !!!!) Quand il a joui, il m'a retourné. A peine le temps de m'écarter les cuisses et de changer le préservatif, il était déjà reparti, pour plus longtemps, cette fois-ci, bien sur ! C'était tellement bon ! Il s'est effrondré sur moi, soufflant comme un boeuf. Après seulement, on s'est fait un moment tendresse. On s'est caressés en se racontant nos vies. Il était Indonésien, cuisinier-patissier en France. Vous pensez bien que plus de deux ans après, les détails de la conversation m'échappent, mais elle fut assez longue pour la continuer sous la douche. On n'a pas fait que ça, bien sur ! On s'est tellement savonnés l'un l'autre qu'on est sortis style "bite-en-bois" courant vers une cabine libre. J'aurais aimé le sucer mais il m'a poussé sur une table de massage, fesses en l'air, écarté les jambes et pénétré et re-tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum. Il a vite joui, mais il est resté dedans et a continué pour rejouir. "quate fois à la suite : tu m'excite comme un fou" On s'est redouchés, rhabillés, échangé nos adresses (il ne comprenait pas que je retourne à La Réunion deux jours après : OU ?!) et on est retourné à nos activités. La mienne était de me faire cravacher par mon petit nègre.
Vous pensez bien que si je vous parle de mon bel Indonésien, c'est qu'il jouera un grand rôle par la suite !
Par Tikalou - Publié dans : souvenirs, souvenirs !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 3 octobre 5 03 /10 /Oct 18:10

Je sais pourquoi Dieu nous a fait : pour s'amuser à nous voir baiser !
Quelques temps cette histoire, je disais à un futur-ex à quel point j'aime être manipulé comme un objet sexuel, que ce que j'aime vraiment, c'est un vrai mec qui fait de moi sa chose, pas un simple vide-couille (ça, ça prend 2 minutes et il m'en faut plus pour me satisfaire !) mais une poupée qu'on tourne et qu'on retourne pour la lustrer pendant des heures ! Ouah, ça c'est du programme ! et voilà-t-y pas que juste après, ça arrive ! voilà comment
Un copain me dit que je suis invité chez une vieille copine (une vieille tente, en fait) qui organise des soirées nudistes "viriles" autour de sa piscine. Ca peut être intéressant, si c'est vraiment "viril", si y'a du beau monde (ceux qui disent que s'il est trop beau et trop distingué, c'est un pédé, ébé, ceux-là, ils n'en voient pas souvent) Au début, c'est excitant, mais on dégrise très vite. Pour ralentir le dégrisage, un peu (beaucoup) de téquila (je dormirais dans la voiture et puis c'est tout) et "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" comme disait maman. J'étais donc hilare quand un cafre, format moyen, m'aborde. Sans les lunettes (ébé oui, on peut pas tout avoir ! j'ai gagné le gris des yeux de maman, mais aussi leur qualité merdique) et avec la téquila, il était pas mal, sexy, voire joli (le problème, c'est que j'y "voire" pas beaucoup à ce moment là)

lui : ça te dérangerais si je te dragais ?
moa : faut voir ! essaye toujours !

Il a essayé, j'ai fini à genoux dans la douche, puis à quatre pattes sur le tapis de bain. Il était moyen partout, sauf en baise : tonique de chez tonique ! Décidé, il savait ce qu'il voulait ! Plus tard dans la nuit, y'en a des qui m'ont demandé s'il m'avait fait mal : juste ce qui faut !
On se revoit le lendemain, c'est bien ; le sur-lendemain, et je commence à me lasser. Ensuite, je me souviens d'une discution dans la cuisine. J'ai du mal à retrouver les mots, parce que je suis beaucoup moins psychologue que lui. En résumé, ça disait que ma "lassitude" rapide de lui était faite exprêt pour le tester, que je dois faire pareil avec tout le monde (et c'est vrai, à bien y réfléchir) parce que je cherche un maître pour me soumettre, pour me rabattre mon caquet et pour me fesser s'il le faut, que c'est parce que je faisait pareil avec mon père mais que je n'ai pas trouvé en lui ce que je cherchais. Ce qui en gros était vrai. Il se proposait de m'apprendre la soumission, qui, seule, allait m'ouvrir la voie de la lumière, de l'apaisement, de l'ouverture. Il a rajouté que ça n'allait pas être facile, ni pour lui, ni pour moi, parce que j'avais une très forte personnalité et une intelligence remarquable (...parce que s'il faut que je vous attende pour avoir des compliments...) A partir de ce jour, on commencé nos séances de sado-maso-soft. Ca a commencé très doucement. Les détails sont flous (c'était en août 2006) mais je me revois à genoux devant lui (là, pas trop dépaysé, le tikalou) le regard baissé pour lui demander l'autorisation de le sucer. Les séances (puisque c'était leur nom) suivantes, il m'a attaché dans différentes positions : en croix sur le lit pour me chevaucher, les mains dans le dos et je le chevauchais ou il me prenait en levrette, le poignet attaché à la cheville du même côté et il me soulevait le bassin et m'écartait les fesses au maximum pour me pénétrer, quand je l'énervais trop, c'était la fessée, mais comme ça faisait mal aux mains, il a fallu que j'achete une cravache (il fallait que j'attende qu'il ai joui pour pouvoir passer des glaçons dessus)
Au bout de deux semaines, je voyais déjà un changement. J'avais pris conscience des mes mécanismes de défense, et commençait à les faire sauter un par un. Cela me procurait des sensation ennivrantes de vertiges et d'accélération (comme quand on a le souffle coupé par le vent trop fort sur le visage en sortant la tête par la fenêtre de la voiture)
Il était en vacances et a du retourner sur Paris. Je l'y ai retrouvé en janvier 2007, mais c'est une autre histoire.

Il était très fort en psycholo-machin et il m'a beaucoup appris. Cependant, LE détail qu'il a loupé, c'est qu'en fait, je cherchais un maître pour me dominer, intellectuellement et physiquement, et non pas me soumettre, comme il l'a fait, par l'autorité brute quand il n'a plus pu me dominer de ses connaissances.
Par Tikalou - Publié dans : souvenirs, souvenirs !
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 1 octobre 3 01 /10 /Oct 11:48

Arrivé en septembre, avant Noël, j'étais accro au répondeur. Je te dis pas les factures !
Je choisi un type intéressant. Tu m'étonnes : 23 cm annoncés ! Même avec 20 % de remise, c'est pas mal ! Et en plus, c'était au centre. Je sonne et là, illico, je mouille ma culotte ! Pas mal, le type ! Grand, torse nu, finement musclé, sec et décidé ! Vas-y, grand fou, prend-moi, renverse-moi, prend-moi et fait de moi ce que tu veux ! Un rêve de jeune folle !

(apparté sur moi même : je ne suis pas folle du tout. Petit, j'étais très maniéré, mais pour éviter les moqueries, je me suis construit une virilité suffisante pour passer inaperçu aux yeux des hétéros, et pour accrocher les mecs qui aiment les mecs, c'est à dire, tout ce que j'aime. C'est pour ça que jai toujours fait de la musculation)

Et il l'a fait ! Il m'a pris, m'a embrassé, carressé, déshabillé de force, recarressé partout, fais de moi ce qu'il voulait, mis à genoux, défait sa ceinture, sorti son mandrin, et, sa main derrière ma tête, m'enfourner, m'empaler, me baiser le fond de la gorge. Génial, non ! Surtout avec du 23 cm. Ca pouvait faire 23 cm, mais à condition d'avoir une règle en arc de cercle. J'avais du mal à le sucer tellement il était courbé vers le haut. En 69, c'était plus facile. Il m'a retourné, plaqué au sol, travaillé de la main au lubrifiant. Le gland est bien passé, mais qu'elle que soit la position, ça me faisait trop mal, il a du arrêter. Je me suis fais virer comme un mal propre. J'ai fini de me rhabiller sur le palier. A la troisième fois, je n'étais plus vraiment vierge, mais c'était pas encore ça !
Par Tikalou - Publié dans : souvenirs, souvenirs !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 28 septembre 7 28 /09 /Sep 16:57
L"autre " m'avait donc donné son téléphone. L'autre était à peu près du même style que moi, mais en un peu moins grand et plus maigre. (moi, je fais 1m72 pour 70 kg, environ) Le lendemain, on se donne rendez-vous chez lui pour le soir même, dans sa chambre d'étudiant. Une fois arrivé : salut, bonsoir, un café, un whisky, on se raconte nos vies. Tout jeune, il était tombé amoureux d'un coureur de 100 m américain qui avait passé quelques jours chez ses parents pour une compétition : grand, noir, plein de muscles et tout et tout... mais c'est tout ! Il ne s'était rien passé. Comment un gringalet de 16 ans pouvait intéresser un tel étalon ! Je lui raconte tout sur la veille (voir 1er article). Tout à coup, il allume un joint, et comme je tarde à planer, il me propose une "soufflette" : il aspire et me recrache la fumée dans la bouche. Bien sur, il en profite pour m'embrasser. Mon premier baiser entre mecs. C'était doux ! C'était tendre ! On se déssappe et... là aussi, il est un peu moins que moi, mais surtout beaucoup plus fin. Une petite aiguille à tricoter ! (vous allez fini par croire que je suis gourmand, et c'est pas faut !) Il était, lui aussi totalemetn inexpérimenté. On s'est caressés, on s'est sucés. Il est tombé amoureux de ma bite (16 de long pour 4 de large : c'est pas énorme, mais elle me plait ! Surtout pour l'usage que j'en fais ! C'est que de la décoration, ou presque ! C'est plutôt par le côté nord que je me fais grimper) Remarque ! Vu la sienne, c'est pas étonnant qu'il soit tombé jalous ce la mienne, jusqu'à plus vouloir la lacher. Il m'a sucé pendant une éternité, limite chiant. La suite était pas mieux. Il avait des préservatifs, mais pas de lubrifiant : ça a jamais voulu rentrer. Moi, je suis rentré, chez moi ! On a essayé encore une fois, mais comme ça a foiré, on s'est plus revus. Trois essais, et toujours vierge.
Par Tikalou - Publié dans : souvenirs, souvenirs !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Profil

  • Tikalou
  • Le blog de kalou
  • Homme
  • 29/03/1982
  • C'est la faute à Mr Bitch ! C'est lui qui ma donné envie de raconter tout ce que je ne dis pas dans le blog que je tiens pour ma famille. Il faut dire que ma chère maman n'a peut être pas envie de savoir comment j'aime me faire bourrer le cul !
  • Célibataire

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus