Vendredi 3 octobre
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18:10
Je sais pourquoi Dieu nous a fait : pour s'amuser à nous voir baiser !
Quelques temps cette histoire, je disais à un futur-ex à quel point j'aime être manipulé comme un objet sexuel, que ce que j'aime vraiment, c'est un vrai mec qui fait de moi sa chose, pas un simple
vide-couille (ça, ça prend 2 minutes et il m'en faut plus pour me satisfaire !) mais une poupée qu'on tourne et qu'on retourne pour la lustrer pendant des heures ! Ouah, ça c'est du programme ! et
voilà-t-y pas que juste après, ça arrive ! voilà comment
Un copain me dit que je suis invité chez une vieille copine (une vieille tente, en fait) qui organise des soirées nudistes "viriles" autour de sa piscine. Ca peut être intéressant, si c'est
vraiment "viril", si y'a du beau monde (ceux qui disent que s'il est trop beau et trop distingué, c'est un pédé, ébé, ceux-là, ils n'en voient pas souvent) Au début, c'est excitant, mais on dégrise
très vite. Pour ralentir le dégrisage, un peu (beaucoup) de téquila (je dormirais dans la voiture et puis c'est tout) et "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" comme disait maman.
J'étais donc hilare quand un cafre, format moyen, m'aborde. Sans les lunettes (ébé oui, on peut pas tout avoir ! j'ai gagné le gris des yeux de maman, mais aussi leur qualité merdique) et avec la
téquila, il était pas mal, sexy, voire joli (le problème, c'est que j'y "voire" pas beaucoup à ce moment là)
lui : ça te dérangerais si je te dragais ?
moa : faut voir ! essaye toujours !
Il a essayé, j'ai fini à genoux dans la douche, puis à quatre pattes sur le tapis de bain. Il était moyen partout, sauf en baise : tonique de chez tonique ! Décidé, il savait ce qu'il voulait !
Plus tard dans la nuit, y'en a des qui m'ont demandé s'il m'avait fait mal : juste ce qui faut !
On se revoit le lendemain, c'est bien ; le sur-lendemain, et je commence à me lasser. Ensuite, je me souviens d'une discution dans la cuisine. J'ai du mal à retrouver les mots, parce que je suis
beaucoup moins psychologue que lui. En résumé, ça disait que ma "lassitude" rapide de lui était faite exprêt pour le tester, que je dois faire pareil avec tout le monde (et c'est vrai, à bien y
réfléchir) parce que je cherche un maître pour me soumettre, pour me rabattre mon caquet et pour me fesser s'il le faut, que c'est parce que je faisait pareil avec mon père mais que je n'ai pas
trouvé en lui ce que je cherchais. Ce qui en gros était vrai. Il se proposait de m'apprendre la soumission, qui, seule, allait m'ouvrir la voie de la lumière, de l'apaisement, de l'ouverture. Il a
rajouté que ça n'allait pas être facile, ni pour lui, ni pour moi, parce que j'avais une très forte personnalité et une intelligence remarquable (...parce que s'il faut que je vous attende pour
avoir des compliments...) A partir de ce jour, on commencé nos séances de sado-maso-soft. Ca a commencé très doucement. Les détails sont flous (c'était en août 2006) mais je me revois à genoux
devant lui (là, pas trop dépaysé, le tikalou) le regard baissé pour lui demander l'autorisation de le sucer. Les séances (puisque c'était leur nom) suivantes, il m'a attaché dans différentes
positions : en croix sur le lit pour me chevaucher, les mains dans le dos et je le chevauchais ou il me prenait en levrette, le poignet attaché à la cheville du même côté et il me soulevait le
bassin et m'écartait les fesses au maximum pour me pénétrer, quand je l'énervais trop, c'était la fessée, mais comme ça faisait mal aux mains, il a fallu que j'achete une cravache (il fallait que
j'attende qu'il ai joui pour pouvoir passer des glaçons dessus)
Au bout de deux semaines, je voyais déjà un changement. J'avais pris conscience des mes mécanismes de défense, et commençait à les faire sauter un par un. Cela me procurait des sensation
ennivrantes de vertiges et d'accélération (comme quand on a le souffle coupé par le vent trop fort sur le visage en sortant la tête par la fenêtre de la voiture)
Il était en vacances et a du retourner sur Paris. Je l'y ai retrouvé en janvier 2007, mais c'est une autre histoire.
Il était très fort en psycholo-machin et il m'a beaucoup appris. Cependant, LE détail qu'il a loupé, c'est qu'en fait, je cherchais un maître pour me dominer, intellectuellement et physiquement, et
non pas me soumettre, comme il l'a fait, par l'autorité brute quand il n'a plus pu me dominer de ses connaissances.
Par Tikalou
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Publié dans : souvenirs, souvenirs !
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Jeudi 2 octobre
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19:27
mardi soir, je me dis "ma pauve fille, t'as rien fait depuis dimanche, faut réagir, tu vas pas mourrir vieille fille" Faut savoir que dimanche, je suis allé parfaire mon bronzage, (histoire
de garder la trace du maillot qui met si bien en valeur mon petit cul bien blanc. Autrefois, je détestais ça, mais maintenant que je sais que ça plait beaucoup ici, moi, je regarde ça d'un oeil
nouveau !) et j'ai fais quelque chose de sympa mais sans plus. En arrivant, je tombe sur un vieux cafre, qui avait au moins, aouuuuuu, 40 ans ! et je sais pas pourquoi, il m'a plu. Peut être
parce qu'il avait un gros cabot (bite en VF ; estimation : 18/5, oh ! la belle chose ! Un peu fripé mais bon, ça allait) Je dois commencer à avoir un sixième sens pour cela (si seulement c'était
vrai !) On est allé dans les fourrés, je l'ai sucé, longuement (juste assez pour me niquer les genoux) et je me suis fait fourré, pas longuement. Juste le temps que la douleur disparaisse (grand
maladroit, va !) et il a joui ! Le soir, j'ai bien essayé de trouver mieux, mais, y'avait plus personne ! Et me voilà donc, mardi soir, pauv'fille en manque, pianotant comme une folle sur mon
clavier pour débusquer le mâââle en rut ! j'y arrive enfin, présentation intéressante : plus grand que moi, sportif, actif, créole blanc... un peu de chocolat blanc, ce soir ! Rendez-vous est donné
: le supermarché d'à côté. J'arrive le coeur battant : vais-je rencontrer un baiseur de première ou un enculé de première ? Je l'aperçois, m'approche. Il est pas bien grand, et un peu gras, le
sportif. Je commence à douter du BM ! On s'aborde, on se présente : il a autant de conversation que le cafre de l'autre jour. Ch'ui abonné, à croire. Celui là, je vais pas le ramene à la maison,
direction : les champs de cannes ! Au milieu de nulle part, je le fais mettre devant les phares avant de m'agenouiler devant lui, puis, oh moment de délicieux entre tous de lui défaire sa ceinture,
de lui baisser le pantalon et de commencer à sucer une chose somme tout honnête, portée par un corps gras. Rapidement, il n'en peut plus, on se prépare, il me prend sur le capot et
rapidement, il n'en peut plus. On se rhabille, un yahourt et au lit ! Ah oui, j'oubliais le petit tour-video-internet pour me branler comme un malade. (j'adore me branler trois fois de suite. La
troisième fois, ça brule quand j'éjacule ! Je dois être un peu maso sur les bords. Je vous raconterais bientot à quel point ! Les fois ou je me demande pourquoi je tiens ce blog, je me dis que des
trucs pareils, je pourrais les raconter à personnes ! et pourtant, ça m'amuse tant !)
Par Tikalou
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Publié dans : que du neuf !
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Mercredi 1 octobre
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11:48
Arrivé en septembre, avant Noël, j'étais accro au répondeur. Je te dis pas les factures !
Je choisi un type intéressant. Tu m'étonnes : 23 cm annoncés ! Même avec 20 % de remise, c'est pas mal ! Et en plus, c'était au centre. Je sonne et là, illico, je mouille ma culotte ! Pas mal, le
type ! Grand, torse nu, finement musclé, sec et décidé ! Vas-y, grand fou, prend-moi, renverse-moi, prend-moi et fait de moi ce que tu veux ! Un rêve de jeune folle !
(apparté sur moi même : je ne suis pas folle du tout. Petit, j'étais très maniéré, mais pour éviter les moqueries, je me suis construit une virilité suffisante pour passer inaperçu aux yeux des
hétéros, et pour accrocher les mecs qui aiment les mecs, c'est à dire, tout ce que j'aime. C'est pour ça que jai toujours fait de la musculation)
Et il l'a fait ! Il m'a pris, m'a embrassé, carressé, déshabillé de force, recarressé partout, fais de moi ce qu'il voulait, mis à genoux, défait sa ceinture, sorti son mandrin, et, sa main
derrière ma tête, m'enfourner, m'empaler, me baiser le fond de la gorge. Génial, non ! Surtout avec du 23 cm. Ca pouvait faire 23 cm, mais à condition d'avoir une règle en arc de cercle. J'avais du
mal à le sucer tellement il était courbé vers le haut. En 69, c'était plus facile. Il m'a retourné, plaqué au sol, travaillé de la main au lubrifiant. Le gland est bien passé, mais qu'elle que soit
la position, ça me faisait trop mal, il a du arrêter. Je me suis fais virer comme un mal propre. J'ai fini de me rhabiller sur le palier. A la troisième fois, je n'étais plus vraiment vierge, mais
c'était pas encore ça !
Par Tikalou
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Publié dans : souvenirs, souvenirs !
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Dimanche 28 septembre
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/09
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16:57
L"autre " m'avait donc donné son téléphone. L'autre était à peu près du même style que moi, mais en un peu moins grand et plus maigre. (moi, je fais 1m72 pour 70 kg,
environ) Le lendemain, on se donne rendez-vous chez lui pour le soir même, dans sa chambre d'étudiant. Une fois arrivé : salut, bonsoir, un café, un whisky, on se raconte nos vies. Tout jeune, il
était tombé amoureux d'un coureur de 100 m américain qui avait passé quelques jours chez ses parents pour une compétition : grand, noir, plein de muscles et tout et tout... mais c'est tout ! Il ne
s'était rien passé. Comment un gringalet de 16 ans pouvait intéresser un tel étalon ! Je lui raconte tout sur la veille (voir 1er article). Tout à coup, il allume un joint, et comme je tarde à
planer, il me propose une "soufflette" : il aspire et me recrache la fumée dans la bouche. Bien sur, il en profite pour m'embrasser. Mon premier baiser entre mecs. C'était doux ! C'était tendre !
On se déssappe et... là aussi, il est un peu moins que moi, mais surtout beaucoup plus fin. Une petite aiguille à tricoter ! (vous allez fini par croire que je suis gourmand, et c'est pas faut !)
Il était, lui aussi totalemetn inexpérimenté. On s'est caressés, on s'est sucés. Il est tombé amoureux de ma bite (16 de long pour 4 de large : c'est pas énorme, mais elle me plait ! Surtout pour
l'usage que j'en fais ! C'est que de la décoration, ou presque ! C'est plutôt par le côté nord que je me fais grimper) Remarque ! Vu la sienne, c'est pas étonnant qu'il soit tombé jalous ce la
mienne, jusqu'à plus vouloir la lacher. Il m'a sucé pendant une éternité, limite chiant. La suite était pas mieux. Il avait des préservatifs, mais pas de lubrifiant : ça a jamais voulu rentrer.
Moi, je suis rentré, chez moi ! On a essayé encore une fois, mais comme ça a foiré, on s'est plus revus. Trois essais, et toujours vierge.
Par Tikalou
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Publié dans : souvenirs, souvenirs !
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Samedi 27 septembre
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11:39
mais vous ne savez peut être pas ce qu'est la souris chaude. En créole, ça veut dire "chauve souris", c'est une très belle plage un peu isolé de la route où les seules souris qui trainent le soir
sont toutes folles avec un préservatif dans la poche ! On marche sur les sentiers avant la tombée de la nuit, on se voit, se choisi et on va dans les brousailles. La nuit tombée, on reste près
plutot sur le parking pour se voir à la lumière des phares. (y'a un truc qui m'énerve, c'est les gars qui restent assis dans leur caisse : pour baiser, je choisi un mec pour son corps, pas pour sa
bagnole ! arrétez de faire les huitres et sortez, merde !)
Donc, il faisait encore un peu jour, l'heure où les travailleurs se permettent un petit écart avant de rentrer chez maman, ou madame, mettre les pieds sous la table familliale. Ah le mythe de
l'hétéro bien viril démontant de sa grosse bite le petit cul gourmand de la jeune folle en manque !
Je tourne, je vire et repère un cafre, un kapor même ! En français, un noir d'Afrique, de belle taille même ! (vous me direz, c'est pas dur ! mais il faisait un peu plus que mes 1m72 !) La tête
rasée, les épaules larges etc... En un mot : viril ! Attention, c'est pas les plus faciles à avoir : ils ont une image à tenir. Surtout ne pas jouer la folle ! A aborder style viril, respectueux,
soumis et clairement sans danger : on se connait pas, on se reverra jamais, j'irais pas tout dire à ta famille. On s'embrasse pas, c'est pour les femmes, ça. Qaunt aux carresses et aux mots
gentils, tu oublis.
Je vois qu'il me remarque aussi. Il me suis, je m'arrête.Il me dépasse, on se jauge du regard. Il continue un peu, lentement, s'arrête dans un coin discret et m'examine de la tête aux pieds. Je
m'approche, lui propose une cigarette. On cause, deux-trois mots d'un air bourru, sans trop se regarder, deux-trois mots sur le monde qui traine, le temps qu'il fait, etc. et tout à coup :
- kosa ou rode, ou là ?
- bè... un boug !
- s'ta dir... ou rode cabot ?
- ben !
- koi ou fé... ou suce ?
- ben !
- alors ou suce amoi, là ?
- ben !
et le voilà qui se tourne vers moi et défait sa ceinture. Vous pensez bien que je me fais pas prier pour tomber à genoux ! Un noir, viril et bien foutu ! J'en tremblais presque d'excitation ! Et
là, une petite déception. Il était viril, le boug, mais pas partout : ça faisait du 13 cm, 15 max. Pour une fois, je pouvais faire du gorge profonde, ça donnait pas envie de vomir. C'était bon,
quand même ! Je me suis rattrapé sur les caresses. Il avait un peu de ventre, d'accord, mais de belles cuisses, des fesses bien fermes : je me suis régalé. Mais trop vite, il me relève, me
retourne. J'ai que mes genoux pour m'appuyer, et voilà monsieur qui fait sa "petite" affaire, sans douceur, mais sans douleur non plus ! J'ai pas senti grand chose ! J'avais beau serrer et balancer
mon cul dans tous les sens : rien ! Dans ce cas là, on attend que ça passe et on repense à ses fesses fermes et ses cuisses musclées ! Et c'est à ce moment là, en pleine position "ramasse brèdes"
que Michel passe ! La honte ! J'espère qu'il ne m'a pas reconnu. On le saura plus tard ! J'ai remonté ma culotte, merci, au revoir et comme il n'y avait plus rien de bien, on a fumé et discuté avec
des copains. A minuit, j'étais au lit.
Par Tikalou
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Publié dans : que du neuf !
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