Lundi 27 octobre
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mardi 21 octobre 2008
ça roule, ma poule !
Dimanche soir, il me téléphone. Il s'est pas fait chier pendant tout le week end, mais presque. On se met d'accord pour aller faire du tourisme en moto tout la journée de lundi. J'ai trouvé le
casque du fils de Gigi (la vieille dame chez qui j'habite depuis quelques mois) dans la remise, lui m'amène des gants et un blousone et lundi matin, nous voilà partis sur les routes du sud sauvage.
Il est de Piton St Leu et ne connaît pas ce coin là de l'île et moi, j'y travaille : le zoreil je fais découvrir son île à un créole ! La cascade Jacqueline, la plage de Vincendo, le village de La
Crête, la marine St Philippe, la dernière coulée, l'anse des cascades : on a tout fait ! ou presque : j'avais amené un tas de préservatifs, pensant me faire coincer derrière des buissons. Même pas
! Mais c'était sans regrets. Dès que je pouvais, je l'entourais de mes bras (il est tellement maigre que j'en fais presque deux fois le tour), je passais mes mains sous son blouson pour caresser
son ventre. Bien sur, j'ai essayé de les glisser dans son caleçon, mais ça l'empêchait de se concentrer sur la route ! Dommage ! On est rentrés crevés : sieste. C'est au réveil de Mr Sourire que
tout a commencé. Il a voulu me faire une surprise et me réveiller de l'intérieur. Il s'était donc préparé, tout équipé, lentement approché, mais il a du pousser trop fort, ou au mauvais endroit :
c'est rentré d'un coup d'un seul, et... euh... comment dire... ça a fait un peu mal ! On s'est calmés et on a repris dans les règles de l'art, et c'était beaucoup mieux. Comme il était alors
l'heure de manger, on a mangé, et on a bu. C'est pas intéressant, mais j'en parle parce que la scène suivante, c'est lui sur le canapé, son verre de vin à la main, et son gland entre mes molaires !
Grands coups de têtes bien lents et bien profonds. Apparament, ma langue sous son gland, ça lui fait de l'effet ! J'ai adoré le faire gémir pendant des heures alors qu'il buvait ou qu'il fumait.
Ensuite, c'était classique, mais tellement bon : à cheval sur lui, puis moi sur le flanc et lui entre mes jambes (elle est bien celle là, je le sens bien profond) et puis à quatre pattes sur le lit
et lui me bourrant le cul (et plus il bourre fort, et mieux c'est !) Il est parti tôt ce matin, il va essayer de revenir mercredi !!!!!
voilà l'article que je devais poster : trop de choses à faire !
en plus, c'est la rentrée et j'ai rien de prêt !
on verra plus tard pour la suite, si je m'en souviens....
Par Tikalou
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Dimanche 19 octobre
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12:46
alors, on attendait avec impatience ?!
et après, c'était très bien ! Tout à commencé à l'heure de l'apéro. On en a pris un à la maison. On est descendus au café de la gare et après la deuxième margarita, plusieurs choses étaient sures :
1- j'adore les margaritas (je connaissait pas, c'est génial ç't'affaire) 2- on allait pas remonter en voiture 3- il me plait de plus en plus, ce gars là ! Ensuite, on a zigzagué jusqu'au
restaurant, japonais, le shogun : un peu cher, mais très bien, très bon (leurs brochettes boeuf-fromage sont un régal). Excellente décoration. J'avais l'impression que si je levais les yeux,
j'allais voir de hauts immeubles avec des enseignes en japonais. On a pas arrêté de parler. On a plein de choses à se dire, c'est fou. Plus je le regardais, plus je le trouvais mignon et plus
j'avais envie de lui sauter dessus. Il est tellement viril. Déjà sans bouger, mais il a une façon de se tenir qui fait tellement... J'avais envie de virer la table et de venir m'asseoir sur son
pantalon ouvert, sur son sexe dressé en criant "vas-y, donne me la, ta virilité !... Je sais pas ce qui m'a retenu... Peut être tous les gens qui passaient devant la terrasse... Ensuite, je l'ai
convaincu d'aller cuver le vin (le tavel, ça passe bien avec les sushis) sur la plage. L'idée, plus ou moins cachée, était de lui sauter dessus dans un coin sombre. Je pensais pas pouvoir attendre
d'être rentré pour le faire : ébé j'ai du attendre ! parce que une plage en plein centre ville, un vendredi soir, entre le port et les habitations, c'est plein de gens et de lumières partout, sans
compter la lune. Alors on a encore un peu bu et on est rentrés. et là... et là... euh... pfouuuu... trop bien ! Bon allez, je détaille un peu, mais parce que c'est vous ! Vous en avez de la chance
que je vous aime bien ! Alors, Il m'a demandé un striptease, debout contre le bar, tout en fumant du "fait-main" ensuite je l'ai eu peu déshabillé... et position naturelle ! Vous la connaissez,
mais j'adore la répéter : à genoux, une bite dans la main gauche, des couilles dans la main droite et un gland entre les molaires. Son ventre hyper plat (presque jalouse !) légèrement poilu, sa
belle poitrine juste au dessus et encore au dessus, son sourire... Hhhhaaaa ! Ensuite, on a passé la nuit ensemble. Là aussi vous voulez des détails ? Disons qu'il y a quelques images fortes qui me
restent en tête ! Moi, assis sur lui couché, les yeux dans les yeux, le dos cambré, la main droite derrière moi, tenant une bonne tige bien raide pour me l'enfiler doucement dans le fondement.
Ahhhhh, rien que d'y repenser.... Sinon... Moi, couché sur le flanc droit, lui, assis sur ma cuisse droite, prenant ma jambe gauche pour la poser sur son épaule gauche et m'enfilant doucement
jusqu'à la garde, puis se penchant sur moi pour accélérer le rythme... Bon, il m'a pris par derrière aussi, mais pour un fois, j'ai moins bien aimé, parce que je pouvais pas voir sa belle gueule.
On a essayé de s'endormir avec lui au fond de moi, mais c'est pas pratique, alors je me suis contenté de ses bras, et c'était très bien comme ça. Là, ce week end, il est occupé, alors moi aussi,
depuis hier, je m'occupe, je fais du sport, je vais peut être aller nager, cet après midi, mais demain... !!!
Par Tikalou
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Vendredi 17 octobre
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17:01
Mr Sourire
Le beau motard métis du pique-nique a rappelé, hier soir. Je venais juste de poster mon dernier article, et donc...
"salut-ça-va, moi-aussi-merci, téchétoi, j'peupasser ?" Maiiiis, bien sur ! Cinq minutes plus tard, il était là : ébé, il embrasse très bien ! Il a fini de se déshabiller alors que j'étais déjà à
genoux : ébé, il était toujours aussi raide, toujours aussi bon à sucer. Il m'a retourné et pris sur la table de la terrasse. Sa bite est aussi très bien dans mon cul : et que je m'accroche à tes
hanches, et puis à tes épaules, et que je te retourne, dos sur la table, les fesses au dessus du vide. Il était très bien entre mes cuisses ! Ensuite seulement on a parlé, et fumé et bu et mangé :
il a 23 ans, il est militaire en métropole, en vacances chez sa mère pour encore deux semaines (ça tombe bien, il me reste une semaine de vacances !) il a la moto de son frère et compte bien s'en
servir pour venir me voir, si je le veux bien. Bentien ! Sinon ça, il me trouve très mignon, bien foutu, un vrai petit mec bien viril, même quand je me fais défoncer ! Vous pensez bien que si je
vous le rapporte, c'est que ça m'a fait un peu plaisir (parce que si je vous attends, vous, pour les compliment...) ! Exactement ce pour quoi j'ai toujours travailler : être viril, une salope, mais
une salope virile ! A force de parler comme ça, de se froler, se toucher, on n'a pas tardés à s'exciter tous les deux, et donc me revoilà à genoux, mais on avait tellement abusé de...
que j'avais l'impression que ma capacité de perception et de concentration étaient décuplées, je sentais ma tête faisait des aller-retours sur une lance de pompier de plusieurs kilomètres, et rien
d'autre n'arrivais à me déconcentrer ! Et lui là haut qui riait bêtement de ma lenteur. Ensuite, on est allés sur le lit, et là, les choses furent plus simples, mais tout aussi space. D'un côté, je
savais qu'il me chevauchait d'un bon rythme, mais d'un autre côté, j'avais l'impression d'être traversé par une tringle de plusieurs kilomètres dont je sentais le moindre centimètre. On a joui, et
encore fumé, bu, mangé, baisé, fumé, bu, dormi, baisé, dormi et encore baisé au petit matin et il a du partir pour une visite en famille. On a rendez-vous se soir. Il m'invite au resto et
après...
Par Tikalou
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Jeudi 16 octobre
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18:59
Ca y est ! Je me souviens de ce qui disait Mr Cravache ! Il disait qu'il y avait en moi une dualité que je n'arrivais pas à vivre ni a résoudre. D'un côté, ce qu'il appelait mon "complexe de
supériorité" en fait, la partie de moi consciente de sa valeur, très fière d'elle même, pour ne pas dire imbue voire imbuvable, et d'un autre côté, la partie de moi persuadée de sa vacuité, de sa
nullité. Comme disait ma soeur (parce que c'est un problème famillial) quand un problème arrive, le réflexe, niveau tripes : "je m'en sortirai jamais" , ensuite arrive la reflexion, niveau cortex :
"à force de retourner la pelote, je finirai par trouver un bout de fil qui dépasse" et il y a toujours un bout de fil qui dépasse. Les deux parties étaient inconciliables. Mr Nullos me faisait
sortir avec des merdes physiques, morales et intellectuelles que Mr Lafierté se faisait un plaisir de virer vite fait (si
jamais ils étaient bien, il les viraient encore plus vite). Avant, je couchais trois fois avec le même mec, maximum. Le seul qui a résisté à Mr Lafierté, c'est Mr Cravache. C'est lui qui m'a appris
à réconcilier les deux parties, à ce que Mr Nullos prenne conscience de toutes ses qualités, surtout affectives (petit concentré d'amour !), à ce que Mr Lafierté ne le cache plus, mais le mette en
valeur, et le protège uniquement si besoin est. Ce n'est pas par hasard si je suis tombé amoureux juste après (de mon bel Indonésien, si vous avez oublié !).
Ma soeur disait (toujours la même) que devenir adulte, c'est apprendre à être seul. J'ai toujours su que je serai heureux et libre dans la vie le jour ou je serai heureux seul avec moi. L'autre
jour, j'ai googlé "journal intime gay" et je suis tombé sur une tralée de copines déprimées racontant leur vie de merde, et là je me suis dit "mais je vais très bien tout seul, moi !" Je profite de
la vie, enfin ! J'ai grandi dans un milieu paysant, plouc, coincé, protestant et puritain. J'ai perdu ma virginité très tard après des années de galères. Alors autant vous dire que je suis bien
tout seul et j'en profite pour user et abuser de ce cul qui m'a trop longtemps servi qu'à m'assoier !
Par Tikalou
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Mercredi 15 octobre
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13:37
lundi, après le travail, pour me détendre, prendre l'air : apéro sur le front de mer de St Pierre. Je m'installe en terrasse au Retro, histoire de mater les gens qui passent ou entrent dans le
tabac. C'est fou le nombre de beau mecs qui fument ! et bien sur, beaucoup de militaires ! J'adore les hommes en uniforme ! Surtout qu'ici, beaucoup sont en short. Parfois, on dirait des scouts
grandis trop vite ! Ce qui me fait baver, c'est les grands, avec des grosses cuisses poilues ! Si en plus, tu rajoutes un joli cul bien rond, je bave en haut et en bas ! En écrivant ça, je repense
à un grand zoreil musclé que j'ai vu passer un jour... mais il n'a fait que passer. sniff. Mais revenons à ce soir là. J'étais assis. Un uniforme approche, accroche mon regard. Il est bien, pas
grand ni en short, mais bien. Je le regarde marcher, c'est à dire niveau ceinture au plus haut (trrrrrès choli !) quand tout à coup, je lève les yeux : il me regarde. ou plutot, il me fixe,
l'effronté ! En poussant la porte, il me souri, et je passe à un autre. Une scéance matage normale. J'y pensais plus et je le vois sortir, lentement, en allumant une cigarette. Il me regarde, souri
et traverse la rue lentement pour aller s'assoier sur une rembarde, à côté du café de la gare, et il regarde vers moi. Il fait presque nuit, j'ai pas mes lunettes, mais je vois qu'il persiste. Il
allume même une deuxième cigarette. Là je me dis "ma fille, celui-là, il est pour toi" Je traverse. Le coup classique du fumeur : t'as pas une cigarette. Durant l'allumage, on s'examine
ouvertement, on se fixe, histoire de faire monter la température. Le temps de se chauffer, on a presque fini de fumer et c'est parti : tu connais un coin tranquille ? tu me suis en voiture ? et
nous voilà partis ! direction : l'hopital, après la ravine, un petit bois et un parking. On s'éloigne des voitures et de la route. Contre un arbre, on s'embrasse. Ca, c'est embrasser ! Il me
dévore, et je me défend bien ! On se caresse. Les mains s'empressent de passer par dessus, par dessous tout ce linge. Sa peau est douce, finement musclé, c'est ferme. Tous les deux torses nus,
ceinture défaite, les caresses descendent. Ses fesses sont fermes et bien rondes, sa raie bien chaude. Il est bien monté (honnètement, sans plus) et trèstrès raide ! (J'adore sentir le désir d'un
homme, sa bite bien gonflé à cause de moi !) Il se baisse, me suce, c'est bien mais sans plus : c'est pas ce que je préfère, alors j'attends la suite. Et elle arrive : il se relève et dit "vas-y,
mets le préservatif" M E R D E ! C'est un passif, lui aussi ! Ca, ça casse le mythe du militaire hyper viril ! cassé, démotivé, j'essaye de négocier. Rien
à faire ! Ebé voilà ! J'ai fait de la spéléo ! Remarque, ça a pas duré longtemps. Comme je sais pas faire, il m'a appuyé sur un arbre, s'est retourné, s'est empalé, et dès qu'il s'est senti
suffisament élargi, on a pivoté pour qu'il s'appuie sur l'arbre et j'ai pistonné de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il jouisse.
En se rhabillant, lui : "t'as jouie, au moins ?" moi : "ouuuiiii, bien sur !" lui : "bon, je me dépèche, je suis pressé, à la prochaine, peut être"
et il part, presque en courant dans la nuit, au milieu des herbes. Frustré, je suis rentré me branler devant des videos sur erog !
Vous me direz : elle est bien, ta petite histoire ! mais attendez le plus beau. Ce matin, je l'ai revu, mon beau militaire, à l'hyperCrack d'à côté : il faisait les courses avec madame et les
enfants ! N'empeche qu'il était mignon avec sa fille dans les bras.
Par Tikalou
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