Le blog de kalou
Ce qui fut fatal, je crois, c'est son appartement : médiocre, miteux, sombre, mal décoré... "C'est pas le côté matériel de va vie qui m'intéresse" C'est vrai qu'en psychologie, il était fort. Il a deviné tellement de choses sur moi. Le rêve : un homme qui m'aime comme j'ai besoin d'être aimé. J'étais terriblement impressioné. Pour lui, en tant que passif, j'étais à la recherche du phallus, ce côté symbolique du penis qui représente la virilité, surtout celle paternelle qui incarne la loi. Le père, pour l'enfant, est là pour, non pas faire la loi, mais la rappeler, et comme tous les enfants, je passais mon temps à violer la loi pour trouver mon père. Je ne l'ai jamais trouvé et c'est pour cela que je le cherche encore en provoquant les hommes, surtout ceux que je trouve virils. Au fond de moi, je suis encore un petit garçon perdu dans ce grand monde et je cherche un papa pour me guider. Manque de chance, je suis exigeant et JL ne me sufisait pas. Je cherchait constament ses limites. Il me disait que je faisait exprès pour le mettre en colère et recevoir une bonne correction. Il les provoquait, aussi, ces situations énervantes. Il m'emmenait dans tous les saunas de Paris pour m'exhiber. Moi qui n'aime qu'a me faire draguer, il m'obigeait à allumer tous ceux qui s'approchaient de moi et le soir, me reprochait de les avoir provoqué devant lui, me fessait, me cravachait, m'attachait, m'humiliait.
Je développe un peu, histoire de vous faire saliver ! Dans un jacuzi, il m'a demandé de caresser de ma jambe, celle de mon voisin d'en face. Il ne me plaisait pas, mais il lui plaisait à lui. J'ai du le caresser jusqu'aux couilles, les lui titiller de mes orteils, lui caresser la bite jusqu'à ce qu'il me demande s'il pouvait me baiser. Alors, en regardant mon "maître" je lui disait : c'est à lui qu'il faut demander. Il m'a fait souvent le coup. Il faisait semblant de réfléchir et le verdict tombait : soit c'était "non et adieu", soit c'était "oui mais je te baise après" Je me rapelle dans les douches, j'ai du me savonner lubriquement en enfonçant bien les doigts et en reculant mon cul pour faire craquer deux vieux ; dans le hamman, j'ai du regarder deux jeunes jusqu'à les faire craquer. Les vieux il les a refusés, par contre, les jeunes, il les a regardés me défoncer chacun leur tout dans une cabine ouverte avant de se les taper devant tout le monde (tu m'étonnes !!! à force de gémir j'avais alerté tout le monde !) Mais un jour où il travaillait, je suis retourné au sauno tout seul. Un petit gars m'y a, apparament remarqué. A force de jouer au chat et à la souris, je me suis laissé attraper. Je l'ai suivi jusque dans une cabine. Il m'a sauté dessus en soupirant, m'a plaqué à terre et sucé tant qu'il pouvait comme un fou. Fou de désir, il l'était. Il m'a soulevé le bassin, a pris sa bite en main pour la guider entre mes fesses, m'a pénétré sans ménagement en me regardant droit dans les yeux, et là, tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum, etc, les yeux dans les yeux. Il était bien beau, le visage large et les traits épais, comme je les aime. J'ai d'abord cru qu'il était Japonais. Je l'ai alors imaginé kartéka. C'est vrai qu'il était bien musclé, bien monté aussi pour un asiatique (Ah ! C'est beau, les clichés !!!!) Quand il a joui, il m'a retourné. A peine le temps de m'écarter les cuisses et de changer le préservatif, il était déjà reparti, pour plus longtemps, cette fois-ci, bien sur ! C'était tellement bon ! Il s'est effrondré sur moi, soufflant comme un boeuf. Après seulement, on s'est fait un moment tendresse. On s'est caressés en se racontant nos vies. Il était Indonésien, cuisinier-patissier en France. Vous pensez bien que plus de deux ans après, les détails de la conversation m'échappent, mais elle fut assez longue pour la continuer sous la douche. On n'a pas fait que ça, bien sur ! On s'est tellement savonnés l'un l'autre qu'on est sortis style "bite-en-bois" courant vers une cabine libre. J'aurais aimé le sucer mais il m'a poussé sur une table de massage, fesses en l'air, écarté les jambes et pénétré et re-tchikiboum-tchikiboum-tchikiboum. Il a vite joui, mais il est resté dedans et a continué pour rejouir. "quate fois à la suite : tu m'excite comme un fou" On s'est redouchés, rhabillés, échangé nos adresses (il ne comprenait pas que je retourne à La Réunion deux jours après : OU ?!) et on est retourné à nos activités. La mienne était de me faire cravacher par mon petit nègre.
Vous pensez bien que si je vous parle de mon bel Indonésien, c'est qu'il jouera un grand rôle par la suite !
Sam 4 oct 2008
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